Mon père a été résident à l" Ermitage de Saint Benoit plus de 4 ans. Il a eu la possibilité d' y séjourner quelques jours avant de prendre sa décision.( venant d' une autre région et ne connaissant pas Poitiers)
Sacré chamboulement qui chahute les repères à 89 ans.
Sa première impression s' est confirmée. Il appréciait à son rythme ,l' environnement, le parc, la petit sentier aménagé à l' entrée de la résidence, les repas parfois organisés à l' extérieur à l' ombre des arbres avec la vue surplombant Poitiers. Le charme des parties communes à l' atmosphère " maison de famille" Les animations intellectuelles et physiques organisés ou les interventions extérieures projection de films. Le lieu de culte pour se recueillir et assister à la messe.
Le moment du repas était un temps fort de la journée, une jolie salle de restaurant où chaque résident peut avoir un menu adapté et varié.
Puis le petit coin à l' accueil pour pouvoir papoter avant ou après le repas…
De jolies nappes blanches , des petites attentions et un service toujours accueillant et souriant de la part du personnel polyvalent .
La possibilité de pouvoir accueillir en chambre d hôtes la famille est un plus ..
Pouvoir organiser un repas de famille dans une belle salle ou dans un espace réservé dans la salle de restauration est un vrai atout!.
Sans oublier le menu que le chef prépare soigneusement surplace ,avec toujours une petite touche particulière pour le dressage de la table.
Mon père aimait pouvoir faire ses courses, et le fait de pouvoir disposer de la navette ou de la voiture particulière avec un chauffeur était très commode et rassurant. J' insiste sur le mot rassurant, car la polyvalence du personnel fait que vous avez toujours affaire aux mêmes personnes .
Et enfin, le plus important, le personnel est vraiment la pièce maitresse de la résidence, gentil, réactif, à l' écoute. Grace a toutes celles et ceux qui s ' animent pour que l' ermitage soit un lieu où l' on se sent bien.
C était le cas de mon père et de sa famille qui venait le voir dans cette deuxième maison. que nous considérions un peu comme la nôtre.